L’année 2017 apparaît comme une année de retour à une croissance moyenne mais relativement équilibrée en France. Le problème est que cette croissance modérée n’a été obtenue que grâce à l’impulsion temporaire du pétrole, qu’elle reste en deçà de la moyenne de la zone euro et qu’elle semble déjà buter sur les capacités d’offre. La dynamique de croissance reste bridée par l’insuffisance structurelle de compétitivité.
08/02/2018 [Lettre de Rexecode]Le cycle économique mondial a démarré en 2009. Toutes les étapes de la phase d’expansion avant un retournement ont été franchies, sauf une, la remontée des taux longs. Cela s’explique par des conditions financières exceptionnellement détendues et, jusqu’ici, par la relative modération de l’expansion et l’absence d’inflation. Cependant, la croissance entraîne des tensions sur les facteurs de production, et l’abondance des liquidités provoque des bulles spéculatives périphériques. La phase d’expansion peut se prolonger, mais on commence à en apercevoir les limites.
25/01/2018 [Lettre de Rexecode]Combien de temps la phase d’expansion économique et de hausse de la valeur des actifs peut-elle encore durer et quels écueils pourraient l'interrompre ? Les deux faces du cycle économique, le cycle réel et le cycle financier sont bien avancés : la dernière étape avant le retournement est la remontée des taux longs et de l’inflation. Les conditions financières restent détendues et l'inflation stable mais des points de tension apparaissent.
18/01/2018 [Analyse et diagnostic]La succession de bonnes nouvelles suggère qu’un nouveau cycle d’expansion s’est amorcé en Europe et qu’il pourrait même se renforcer. Mais les reprises économiques mondiales ont toujours buté sur des obstacles, qui résultaient le plus souvent de la croissance elle-même. Quels sont aujourd’hui les principaux risques économiques et financiers ?
04/01/2018 [Lettre de Rexecode]En réintégrant dans la base d’imposition au barème progressif tout dividende dépassant de 10% la valeur de l’investissement de l’entrepreneur, le Sénat fait perdre à la réforme de la fiscalité du capital une bonne partie de son bénéfice économique. Cela revient à exclure du prélèvement forfaitaire unique (PFU) ceux-là mêmes pour qui il est conçu.
11/12/2017 [Rexecode dans les médias]