L’économie mondiale subit son troisième choc pétrolier. Comme pour les précédents de 1973-1974 et de 1979-1981, on attend que celui-ci vienne freiner l’économie mondiale. Jusqu’à présent, le dynamisme de l’activité dans le monde n’a pas faibli, ce qui ne veut pas dire que l’inflexion n’arrivera pas. Mais peut-être que cette fois l’économie mondiale est plus à même de digérer le choc
21/09/2005 [Points d’actualité]Les trimestres se suivent et se ressemblent en Espagne. Le dynamisme de l’économie espagnole est toujours attribuable à la seule demande intérieure et le besoin de financement de l’économie espagnole, ménages en tête, continue à s’accroître. Malgré le creusement des déséquilibres et le renchérissement de la facture énergétique, les indicateurs de court terme restent bien orientés, pointant toutefois plutôt sur un ralentissement de la croissance. Les valorisations boursières se rapprochent de leur précédent sommet
07/09/2005 [Points d’actualité]Le ralentissement de la croissance en France s’est amplifié au cours du deuxième trimestre. Seule une forte contribution positive des stocks a permis d’échapper à l’affichage d’une variation négative du volume du PIB. La déception est venue principalement d’une demande interne hors stocks en net fléchissement au cours du printemps dernier. Les enquêtes de conjoncture suggèrent cependant que le ralentissement ne s’est pas amplifié durant l’été sans pour autant qu’une reprise soit d’ores et déjà d’actualité.
06/09/2005 [Points d’actualité]Fondamentalement, la croissance de l’économie américaine reste forte ce qui contribue à réduire le chômage. Mais l’inflation ne menace pas en dépit du renchérissement qui se poursuit des prix de l’énergie. La remontée des fonds fédéraux n’empêche pas les ménages de continuer à puiser dans leur épargne et n’a toujours pas tempéré le dynamisme du marché immobilier. Il faut envisager la poursuite du resserrement de la politique monétaire au-delà de ce qui était généralement prévu jusqu’ici
01/09/2005 [Points d’actualité]Comme attendu, l’économie allemande a stagné au second trimestre après l’excellente performance du premier trimestre. Le PIB a de plus été soutenu par le rebond des stocks et de la demande publique alors que la consommation des ménages continue de se replier. Toutefois, les perspectives semblent s’améliorer augurant d’une reprise sur la seconde partie de l’année
30/08/2005 [Points d’actualité]