De 1976 à 1996, l’emploi en France avait augmenté de un million. De 1996 à 2001, il a augmenté de deux millions. Les causes de cette amélioration sont connues (effet retardé des baisses de charges « offensives » sur les bas salaires, effet provisoire de la réduction de la durée du travail, forte croissance économique due notamment au niveau très bas de l’euro). Les facteurs favorables ont disparu
29/06/2005 [Lettre de Rexecode]Nous envisagions il y a un an un taux de croissance mondial de 3,9% pour 2005 et de 3,5% pour 2006. Nos prévisions actuelles sont 4,2% en 2005 et 3,7% en 2006, c’est-à-dire extrêmement proches de celles d’il y a un an.
16/06/2005 [Lettre de Rexecode]Après une correction sévère qui a pris des allures de krach sur certaines places des pays émergents, n’épargnant ni certains marchés de produits de base, ni certaines devises, les marchés d’actions restent à la peine. Pourtant aucun indicateur conjoncturel publié ces derniers jours n’annonce un risque de rupture de la croissancemondiale à horizon visible
01/06/2005 [Lettre de Rexecode]Les instituts de conjoncture européens membres de l’AIECE ont tenu leur réunion du printemps 2005 à Genève. Le climat de la discussion a été empreint d’un certain pessimisme.
18/05/2005 [Lettre de Rexecode]La conjoncture économique européenne continue à enregistrer les effets négatifs de la hausse de l’euro. Les exportations piétinent, la production industrielle stagne et les enquêtes de conjoncture annoncent une dégradation de l’activité dans l’industrie
27/04/2005 [Lettre de Rexecode]