Alors qu’un référendum constitutionnel portant principalement sur le fonctionnement des institutions publiques est prévu pour la fin de l’année, les citoyens italiens et les observateurs internationaux semblent s’intéresser davantage à la situation économique du pays et au bilan du gouvernement de Matteo Renzi. De toutes les réformes entreprises, seule la réforme du marché du travail semble pour l'heure porter des fruits.
25/10/2016 [Analyse et diagnostic]Le secteur bancaire italien inquiète du fait de la forte progression des prêts non performants (PNP) depuis 2011. Ceux-ci atteignaient 16,4% de l’encours total des crédits en juin 2016. La forte baisse des valeurs boursières bancaires depuis le début de l’année 2016 illustre bien l’appréhension des marchés vis-à-vis de cette situation.
13/10/2016 [Analyse et diagnostic]Le PIB italien n’a progressé que de 0,1% l’an au deuxième trimestre. Alors que le premier trimestre était plutôt encourageant (le PIB étant ressorti à 1,2% l’an), les derniers chiffres déçoivent. Ce ralentissement est dû à une contraction de la demande interne malgré différents facteurs de soutien tels que l'emploi ou l'inflation.
06/09/2016 [Points d’actualité]La croissance de l'économie italienne a été nulle au 2° trimestre alors que des facteurs externes (prix du pétrole et dépréciation de l’euro) mais également internes (mesures de soutien à l’emploi, baisse du coût horaire de la main d’oeuvre ou encore la faiblesse des prix) permettaient d’espérer une reprise plus robuste.
25/08/2016 [Lettre de Rexecode]Les économiques périphériques de la zone euro ont souvent été désignées comme les victimes collatérales d’un Brexit et la tension sur leurs spreads au lendemain du referendum l’illustre bien. Ces spreads se sont progressivement détendus mais les finances publiques restent le talon d'Achille de l’Espagne, de l’Italie ou du Portugal. Les institutions européennes disposent cependant d'un ensemble d’outils pour tempérer toute flambée des taux souverains.
07/07/2016 [Lettre de Rexecode]