La crise argentine ne s'est pas diffusée à d'autres pays à la différence des crises asiatiques de l'été 1997 ou de la crise financière russe de 1998. Le risque de propagation de la crise, classiquement appelé «l'effet domino» n'est pas aujourd'hui complètement éliminé, mais il semble assez faible
28/02/2002 [Lettre de Rexecode]Les marchés boursiers marquent le pas dans l'ensemble des pays développés sous l'influence de facteurs multiples et contradictoires. Le premier facteur est la croissance économique (et le niveau des profits qui est généralement lié à la croissance).
14/02/2002 [Lettre de Rexecode]Plusieurs indices qualitatifs traduisent la perception d'une amélioration du climat économique. Certains indicateurs avancés suggèrent que le rebond devrait se poursuivre dans les tout prochains mois. La question se pose maintenant de la suite du mouvement
31/01/2002 [Lettre de Rexecode]
Les résultats nets des sociétés non financières ont reculé de 3,6 % en valeur en 2001. La modération de l'activité, le renchérissement passé des approvisionnements énergétiques, l'avance rapide des coûts salariaux ainsi que la remontée du poids des frais financiers et des impôts directs ont fortement pesé sur les profits au cours de l'année écoulée. L'absence de
reprise vigoureuse ne permettrait pas un rétablissement des résultats. A l'inverse, ceux-ci se contracteraient de nouveau de 0,6 % en 2002.
Dans le cadre de sa note de conjoncture du mois de décembre, l'INSEE a publié un dossier thématique sur l'impact comparé de l'effet richesse en France et aux Etats-Unis. Il apparaît que l'effet richesse a fortement contribué au dynamisme de la consommation des ménages américains mais que son rôle est resté marginal en France. Pour autant, le repli de la Bourse ne se traduirait pas par un vif décrochage de la consommation aux Etats-Unis.
24/01/2002 [Analyse et diagnostic]