La croissance mondiale se maintient avec des signes de ralentissement confirmé aux Etats-Unis mais une poursuite de la croissance à un rythme relativement soutenu en Europe. Au Japon, les dernières révisions donnent une image mitigée de l’économie
13/12/2006 [Lettre de Rexecode]Les comptables nationaux ont révisé à la hausse leur estimation de la croissance du PIB au troisième trimestre à 2,2 % l’an au lieu de 1,6 %. Ils confirment le ralentissement de l’activité qui apparaît cependant un peu moins accentué qu’initialement estimé. L’inflation des prix du PIB est simultanément corrigée en légère baisse, estimée à 1,7 % l’an au lieu de 1,8 %. Les comptes désormais complets du troisième trimestre apportent leur lot de surprise avec un vif rebond du taux de marge des sociétés non financières qui fait plus qu’effacer son recul enregistré au deuxième trimestre et inscrit un nouveau plus haut au-dessus du précédent de 1997. Les «cash flows» des sociétés non financières rebondissent vivement ce qui devrait contribuer à soutenir l’investissement productif
06/12/2006 [Points d’actualité]L’activité industrielle a nettement rebondi au début 2006. Entre son point bas d’octobre 2005 et le dernier point haut touché en mai 2006, l’indice de la production manufacturière a progressé de plus de 4%. C’est une performance inédite depuis 1999.
31/10/2006 [Lettre de Rexecode]Le ralentissement de l’activité économique commencé au printemps dernier s’est poursuivi au cours de l’été en s’accentuant. En première estimation, le volume du PIB n’aurait augmenté que de 1,6 % l’an. Simultanément, les pressions inflationnistes se sont tempérées avec une hausse du déflateur du PIB ne dépassant pas 1,8 % l’an. L’annonce de ces résultats n’a pas été bien accueillie par les marchés. Le dollar a faibli, les rendements des obligations ont reculé ce dont Wall Street n’a pas profité. La conjoncture américaine se dirige-t-elle vers une inflexion majeure ?
30/10/2006 [Points d’actualité]Après une forte hausse en 2005 puis une stabilisation en 2006, le projet de loi de finances pour l’exercice 2007 retient une hypothèse de recul du poids des prélèvements obligatoires à 43,7% (après 44,0% en 2005 et en 2006)
18/10/2006 [Lettre de Rexecode]