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Les anomalies de la fiscalité française

Lettre du 15 février 2014

14/02/2014

Michel DIDIER

Le taux de prélèvements obligatoires est en France parmi le plus élevé du monde. De surcroît, la structure de la fiscalité privilégie les prélèvements les plus "nocifs" pour la croissance. Une correction des anomalies s’impose. Le premier dossier du Cercle Rexecode les analyse en détail.

Les prélèvements obligatoires sont à l’évidence nécessaires pour financer les services collectifs et la protection sociale. Mais ils ont aussi des conséquences économiques dont il faut avoir conscience.

Le taux de prélèvements obligatoires est en France parmi le plus élevé du monde : 45 % du PIB en 2012, 46 % prévus pour 2013. De surcroît, la structure de la fiscalité privilégie les prélèvements les plus « nocifs » pour la croissance. Une correction des anomalies s’impose.

Un constat préoccupant est la baisse de la rentabilité des fonds propres des entreprises. Le rendement des fonds propres des sociétés non financières est de l’ordre de 3,3 % en 2013, son plus bas niveau depuis plus de vingt ans. Les réformes fiscales devraient s’efforcer d’enrayer cette baisse.

Table des matières :

Le premier dossier du Cercle Rexecode, "Reforme fiscale et retour de la croissance" (février 2014) analyse en détail les anomalies de la fiscalité française.

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