15/09/2017
L''appréciation rapide de l’euro face au dollar, et dans une moindre mesure en change effectif réel, était à plusieurs égards prévisibles. Elle constitue un facteur de ralentissement non négligeable pour la zone euro, même si nous ne pensons pas qu’elle suffira à briser l’élan de la reprise. Certains pays et secteurs devraient même s’en tirer à moindres frais. Le ralentissement induit de l'inflation est gênant pour la politique de normalisation de la BCE.